The United Nations Office for Project Services (UNOPS)

Pays les moins avancés : du potentiel à la prospérité

Lors de la cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés (LDC5), l’accent a été mis sur les efforts pour passer à la vitesse supérieure et garantir que les pays les moins avancés tiennent fermement les rênes de leur progression vers la prospérité.

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  • © UNOPS/Jason Florio

Il reste moins d’une décennie pour réaliser les objectifs du Programme 2030, et pour y parvenir, il est vital d’aider les pays les moins avancés à tirer parti de leur potentiel de développement socio-économique. La conférence de cinq jours organisée à Doha, au Qatar, a rassemblé des responsables politiques du monde entier, des organismes du secteur privé et de la société civile, des parlementaires et des jeunes dans le but de redoubler d’efforts pour soutenir ces pays.

La Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés est une occasion, qui ne se présente qu’une fois tous les dix ans, de susciter un élan et de favoriser un dialogue constructif afin de bien comprendre à quoi ressemblera la prochaine vague de développement durable dans ces pays. »

Jens Wandel - Directeur exécutif par intérim de l'UNOPS

La conférence marquait le début de la mise en œuvre du Programme d’action de Doha, qui aidera les pays les moins avancés à faire face aux conséquences de la pandémie de la COVID-19 et de la crise climatique ainsi qu’à faire des progrès afin de quitter de manière durable et irréversible cette catégorie de pays.

« Nous étions à la cinquième Conférence des Nations Unies sur les pays les moins avancés pour écouter et apprendre. Un point qui a été réitéré à plusieurs reprises au cours de la semaine est le besoin de partenariats mondiaux de grande envergure. Ils sont essentiels pour garantir que les pays les moins avancés reçoivent les investissements audacieux nécessaires dans les domaines de la santé, des infrastructures et de la résilience afin de quitter de manière permanente cette catégorie », précise Émilie Potvin, directrice du Groupe des partenariats de l’UNOPS. 

Au pavillon d’exposition de la conférence, l’UNOPS a présenté des exemples concrets de projets mis en œuvre dans des pays parmi les moins avancés, soulignant les effets positifs du travail de l’organisation pour les populations et la planète. Des représentantes et représentants de l’UNOPS ont également pu échanger avec les membres de différentes délégations. 

En marge de la conférence, des responsables de l’UNOPS ont en outre rencontré des partenaires dans le cadre de réunions bilatérales de haut niveau. 

La délégation de l’UNOPS a quitté la conférence avec le désir encore plus fort de nouer de nouveaux partenariats et de renforcer les collaborations existantes afin de travailler avec les pays les moins avancés pour définir leurs priorités de développement pour les années à venir.


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