« L’objectif de cette étude est d’encourager le débat au sujet des questions juridiques que la technologie de la chaîne de blocs pose ou pourrait poser, non seulement à l’égard des activités humanitaires et de développement, auquel l’UNOPS s’intéresse principalement, mais aussi à l’égard des cadres législatifs existants ainsi que de la gestion des données et des identités en général », explique Yoshiyuki Yamamoto, conseiller spécial en matière de technologie de la chaîne de blocs à l’UNOPS.

La nouvelle étude sera publiée sous forme de livre cet été et son lancement célébré au cours d’un évènement à New York à la mi-septembre.

« Il nous faut acquérir une compréhension claire de la dimension juridique de la technologie de la chaîne de blocs pour en exploiter au mieux le potentiel », affirme Koen Hartog, responsable de programme pour « Blockchain Pilots », basé à La Haye.

« Les projets liés à cette technologie devraient inclure la participation d’experts juridiques dès leurs premières phases. Cependant, il en va souvent autrement. Nous espérons que ce livre sera une introduction utile à la technologie de la chaîne de blocs pour les juristes travaillant dans l’administration publique ou au sein d’organisations internationales », ajoute-t-il.

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